Établissement de communautés végétales indigènes dans des sites gravement perturbés : examen des facteurs limitant la restauration des cicatrices des brûlis

Dans de nombreux écosystèmes forestiers faisant l’objet d’une gestion active, les endroits les plus perturbés sont ceux où des déchets forestiers ont été empilés et brûlés. Ces brûlis créent des zones dénudées qui pourraient fournir autant de points d’accès à des espèces végétales exotiques envahissantes. La stagiaire étudiera la restauration d’espèces indigènes dans les zones où des amas de déchets ont récemment été brûlés, dans le but d’empêcher l’apparition d’espèces exotiques envahissantes dans cette région ou bien, si ces dernières sont déjà présentes, d’en interdire la propagation. Trois facteurs limitants possibles à l’établissement de plantes indigènes seront examinés : la disponibilité des semences, herbivorisme à l’encontre des semences et enfin, la disponibilité d’inoculants mycorhiziens dans le sol. Cette expérience sera réalisée dans trois sites différents de la C.-B., à savoir Kamloops, Clinton et Riske Creek.

Faculty Supervisor:

M. Lauchlan Fraser

Student:

Lisa DeSandoli

Partner:

BC Ministry of Forests, Lands, Natural Resource Operations and Rural Development

Discipline:

Biology

Sector:

Forestry

University:

Thompson Rivers University